Technopolis, Siège Dell, Technopark, Gare de Casa Port, Grands Théâtres de Casablanca et Rabat, La Marina, Anfa Place…. Ce sont là autant de références solides qui portent la signature de Jet Contractors.
Introduite à la Bourse de Casablanca en 2011, Jet Contractors devrait réaliser un chiffre d’affaires de l’ordre de 1,5 milliard de DH en 2018 (prévision), avec près de 1.500 collaborateurs – une croissance annuelle à deux chiffres avec un niveau de profitabilité opérationnelle normative de l’ordre de 20%.
Une dynamique qui s’explique par l’intégration progressive de la chaîne de valeur de la construction verticale, le bâtiment – et ce, tant en general contracting qu’en manufacturing. Cette vision stratégique initiée en 2012 a été parachevée en 2018 avec l’acquisition de la société MCA, un partenaire historique qui a assuré pour le compte du groupe plus de 1,5 milliard de DH de chiffre d’affaires en opérations dites de tout corps d’état durant les 5 dernières années.
Le groupe a été en mesure d’accompagner la dynamique d’expansion du Maroc en matière d’infrastructures, notamment dans le transport, telles qu’en attestent les réalisations d’ouvrages ayant contribué à l’aventure de la première LGV d’Afrique (Gares LGV de Tanger et Kenitra, Centre de maintenance du LGV de Tanger).
Le groupe s’engage dorénavant dans le développement d’infrastructures économiques et sociales (Rabat American School, Centre de formation Lalla Khadija, colonies de vacances du ministère de la Jeunesse et des Sports…).
L’exercice 2017 a enregistré un bond du chiffre d’affaires consolidé du groupe à 1,24 milliard de DH en hausse de 17% par rapport à 2016. L’exercice 2018 est venu confirmer cette dynamique de croissance rentable et génératrice de free cash-flows.
Comme en témoigne la structure du carnet de commandes, le poids du general contracting, soit le métier d’ensemblier de la construction, va croissant dans la prise de commandes. Cette activité consiste à livrer les ouvrages clés-en-mains en s’articulant autour de 3 piliers: le BET (bureau d’études techniques), la cellule achats et le pilotage opérationnel des chantiers.
Or, le métier de general contracting est d’autant plus stratégique, qu’il permet au groupe de se rapprocher toujours plus du donneur d’ordre aux fins de dominer le cycle des encaissements et améliorer mécaniquement son BFR relatif. L’augmentation des volumes d’activité conjuguée au maintien de ses marges opérationnelles ainsi qu’une réduction dudit BFR ont pour effet mécanique d’améliorer le cash-flow opérationnel.
Outre le savoir-faire déployé en general contracting, l’entreprise est également dotée d’une plateforme de 7 hectares, dont 4,5 couverts, où les lots stratégiques employés pour les typologies de constructions sont usinés.
Source : L’économiste